NB. Des pièces essentielles de cette affaire sont en lien. Il suffit de cliquer sur les mots en bleu et gras. L'ensemble des pièces se trouve infra.
.
Ici je décris une affaire judiciaire particulièrement sordide.
.
.
Françoise Scheyven, conçue avant le mariage de ses parents, a toujours été l'objet de leur haine. Probablement qu'elle représentait pour eux ce qui les a contraints à s'épouser, alors qu'ils ne s'aimaient pas.
Son père, Directeur Général d'un important organisme, était très bien rémunéré et avait en plus de la fortune personnelle (par différents héritages). Son épouse avait aussi de la fortune personnelle.
On pourrait s'imaginer que quand on est né avec une cuillère en argent dans la bouche, on aura toujours plus qu'une personne née parmi les plus humbles, même en cas de conflit familial.
.
Il n'en est rien en réalité !
.
Françoise Scheyven, enfant, a vécu le plus souvent chez ses grands-parents car ses parents l'évitaient. Elle était souvent malade parce que maltraitée.
Elle n'a pu faire d'études mais a travaillé dans l'organisme que dirigeait son père.
Son père l'a empêchée d'étudier et travailler sérieusement. Il a rompu le contrat de travail de Françoise Scheyven à son mariage. Ensuite, il ne l'a jamais aidée correctement en dépit de son devoir légal et des difficultés épouvantables que sa fille éprouvait.
Françoise Scheyven ne pouvait être par après que femme de ménage car elle ne connaissait pas la langue de la région qu'elle habite.
Je trouve ignoble d'empêcher une femme d'étudier et travailler, quand en plus elle est dans le besoin. Cela existe encore dans certaines mentalités attardées. Étudier et travailler sont les choses qui me tiennent le plus à coeur et qui m'ont permises de m'intégrer dans la société. Il n'y a rien que je ne déteste autant que les gens qui poussent les femmes au mariage et à devenir femme au foyer, à les confiner à une position d'infériorité et de dépendance économique.
.
Françoise Scheyven vit dans une pauvreté qu'on ne peut imaginer. Même les personnes les plus pauvres des environs peuvent sembler enviables. Quelques indices : pas d'eau courante, pas de chauffage central, pas de sanitaires, un intérieur très délabré et humide, la façon de vivre se rapproche de celle des SDF dont le sort me sensibilise énormément. La grande pauvreté humilie profondément et isole aussi.
.
L'exhérédation de Françoise Scheyven a été organisée en cachant l'essentiel des avoirs de ses parents et en en distribuant la plus grande partie du vivant des parents aux autres enfants, afin de les faire échapper au fisc et à Françoise Scheyven.
Le seul avoir qui n'a pu être dissimulé est une très grosse maison bourgeoise sise à Uccle Quartier Prince d'Orange (le Neuilly-sur-Seine belge, le "quartier le plus riche d'Uccle et de Bruxelles" dixit Wikipedia). Cette villa comporte une dizaine de chambres, de nombreuses salles de bain et réceptions luxueuses, une conciergerie, un quart d'hectare de jardin et a été conçue par un architecte très connu en Belgique, Jasinski. En plus, dans notre contexte actuel de peoplisation, cette maison est fort valorisée par le fait qu'elle a été la maison d'enfance de l'écrivaine belge la plus vendue actuellement, Amélie Nothomb. Elle était aussi la maison de ses grands-parents.
Cette maison sise avenue des Sorbiers à Uccle, d'une valeur de l'ordre de trois millions d'euros actuellement a été dévaluée au prix de 446.208 euros dans la succession afin de léser Françoise Scheyven (ici en lien une expertise de cette maison).
Or, dès 1998, cette sorte d'immeuble dépassait facilement 900.000 euros à la vente comme le confirme cet article de l'événement immobilier de juillet 1998 (en lien ici, et l'extrait concerné ci-dessous).
Ici je décris une affaire judiciaire particulièrement sordide.
.
.
Françoise Scheyven, conçue avant le mariage de ses parents, a toujours été l'objet de leur haine. Probablement qu'elle représentait pour eux ce qui les a contraints à s'épouser, alors qu'ils ne s'aimaient pas.
Son père, Directeur Général d'un important organisme, était très bien rémunéré et avait en plus de la fortune personnelle (par différents héritages). Son épouse avait aussi de la fortune personnelle.
On pourrait s'imaginer que quand on est né avec une cuillère en argent dans la bouche, on aura toujours plus qu'une personne née parmi les plus humbles, même en cas de conflit familial.
.
Il n'en est rien en réalité !
.
Françoise Scheyven, enfant, a vécu le plus souvent chez ses grands-parents car ses parents l'évitaient. Elle était souvent malade parce que maltraitée.
Elle n'a pu faire d'études mais a travaillé dans l'organisme que dirigeait son père.
Son père l'a empêchée d'étudier et travailler sérieusement. Il a rompu le contrat de travail de Françoise Scheyven à son mariage. Ensuite, il ne l'a jamais aidée correctement en dépit de son devoir légal et des difficultés épouvantables que sa fille éprouvait.
Françoise Scheyven ne pouvait être par après que femme de ménage car elle ne connaissait pas la langue de la région qu'elle habite.
Je trouve ignoble d'empêcher une femme d'étudier et travailler, quand en plus elle est dans le besoin. Cela existe encore dans certaines mentalités attardées. Étudier et travailler sont les choses qui me tiennent le plus à coeur et qui m'ont permises de m'intégrer dans la société. Il n'y a rien que je ne déteste autant que les gens qui poussent les femmes au mariage et à devenir femme au foyer, à les confiner à une position d'infériorité et de dépendance économique.
.
Françoise Scheyven vit dans une pauvreté qu'on ne peut imaginer. Même les personnes les plus pauvres des environs peuvent sembler enviables. Quelques indices : pas d'eau courante, pas de chauffage central, pas de sanitaires, un intérieur très délabré et humide, la façon de vivre se rapproche de celle des SDF dont le sort me sensibilise énormément. La grande pauvreté humilie profondément et isole aussi.
.
L'exhérédation de Françoise Scheyven a été organisée en cachant l'essentiel des avoirs de ses parents et en en distribuant la plus grande partie du vivant des parents aux autres enfants, afin de les faire échapper au fisc et à Françoise Scheyven.
Le seul avoir qui n'a pu être dissimulé est une très grosse maison bourgeoise sise à Uccle Quartier Prince d'Orange (le Neuilly-sur-Seine belge, le "quartier le plus riche d'Uccle et de Bruxelles" dixit Wikipedia). Cette villa comporte une dizaine de chambres, de nombreuses salles de bain et réceptions luxueuses, une conciergerie, un quart d'hectare de jardin et a été conçue par un architecte très connu en Belgique, Jasinski. En plus, dans notre contexte actuel de peoplisation, cette maison est fort valorisée par le fait qu'elle a été la maison d'enfance de l'écrivaine belge la plus vendue actuellement, Amélie Nothomb. Elle était aussi la maison de ses grands-parents.
Cette maison sise avenue des Sorbiers à Uccle, d'une valeur de l'ordre de trois millions d'euros actuellement a été dévaluée au prix de 446.208 euros dans la succession afin de léser Françoise Scheyven (ici en lien une expertise de cette maison).
Or, dès 1998, cette sorte d'immeuble dépassait facilement 900.000 euros à la vente comme le confirme cet article de l'événement immobilier de juillet 1998 (en lien ici, et l'extrait concerné ci-dessous).
On peut aussi se faire une idée de la valeur actuelle de cette maison en vérifiant le prix de vente de maisons similaires sur immoweb.com, c'est-à-dire des immeubles sis à 1180 Uccle (mais dans le Quartier Prince d'Orange, le plus cher), avec un jardin de 25 ares, une surface de 800 m2, de grandes réceptions et une dizaine de chambres - de l'ordre de trois millions d'euros.
.
Les adversaires ont produit une soi-disant expertise, réalisée par un agent immobilier associé du fils de l'acheteuse de la maison, lequel a évité d'indiquer la surface de la maison dans son rapport, donnée pourtant essentielle pour une évaluation. Cette soi-disant expertise présente à titre de points de comparaison des immeubles plus petits (de l'ordre de 300 m2 et comportant par exemple quatre ou cinq chambres ...) et pire un faux matériel, ayant glissé parmi ces points de comparaison un terrain à bâtir présenté frauduleusement comme une maison d'habitation (voir en lien un extrait de ce document des adversaires qui présente la vente en 1998 du 6 à 10 avenue des sorbiers comme celle d'une maison unifamiliale, alors qu'il s'agit de la vente d'un simple terrain à bâtir comme le démontre le document fourni par la Chambre des Notaires, page 2 du pdf)
.
.
Si Françoise Scheyven perd son procès, cette maison assez fantastique et en parfait état, sera attribuée à sa soeur contre une somme ridicule par le truchement d'une transaction caduque car vieille de dix ans et pourtant assortie d'une clause de délai maximum de ... quatre mois (en page deux de la transaction en lien le point 3.4 prévoit un délai maximum pour l'exécution de la transaction). Cette transaction est entachée de bien d'autres irrégularités encore. Et sans vergogne, ses soeurs réclament des dommages-intérêts démesurés à Françoise Scheyven en dépit de sa situation, histoire de réduire encore davantage sa part.
.
Cette situation est d'autant plus écoeurante que Françoise Scheyven vit actuellement en quart-mondiste, dans un petit chalet en ruine, sans chauffage, ni eau courante, ni la place suffisante pour y vivre.
.
Je n'ai pas osé montrer une photo du chalet entier, ni de son intérieur, par honte et pudeur pour Françoise Scheyven.
La situation est tellement extrême, presque archétypique, que j'ai vraiment du mal à la présenter de façon crédible. La réalité dépasse nettement la fiction. La honte pousse aussi à l'autocensure.
.
A cela s'ajoutent des comptes bancaires littéralement pillés à l'insu de Françoise Scheyven, qui n'arrive pas à faire reconnaître ses droits en dépit de plusieurs expertises sous la foi du serment, dont une d'un comptable totalement indépendant en lien ici..
.
Finalement, le troisième grief important de Françoise Scheyven est le fait que ses soeurs ont été nourries, logées, blanchies, gratuitement avec leurs enfants et mari pendant des décennies [le courrier en lien précise qu'elles payaient leurs repas, ce qui s'est avéré un mensonge contredit par d'autres preuves, mais confirme par ailleurs qu'elles ne payaient aucun loyer, aucun loyer n'étant prévu dans leurs conditions d'hébergement] et elle demande le rapport de ces donations et libéralités aux successions. Dans ce cadre, il est plus particulièrement reproché à l'écrivaine Amélie Nothomb de s'être forgé un passé factice (une enfance au Japon) non dans le seul but de faire mousser son image, mais aussi afin de consolider la version de sa mère qui prétend ne pas avoir été hébergée par ses propres parents avec ses enfants - elle fait d'une pierre deux coups, elle agrémente sa biographie de mensonges éhontés afin de se valoriser au détriment de personnes plus talentueuses et elle aide sa mère à ruiner sa soeur ainée.
.
Françoise Scheyven a perdu une première manche au pénal dans des conditions pitoyables : elle a dû plaider elle-même son dossier face à un des meilleurs avocats de Bruxelles. Mais ce jugement infamant n'a pu être exécuté suite à un constat de carence de l'huissier de justice, lequel confirme les faits présentés par Françoise Scheyven.
.
Cette affaire est extrême, exceptionnelle, car il est rare qu'une personne soit lésée à ce point et ait vécu toute sa vie dans la misère alors que ses plus proches parents vivaient dans l'opulence, ne se conformant pas au code civil lequel oblige les parents à assister leurs enfants. En plus, alors que ses soeurs vivent richement avec des domestiques, elle vit dans un taudis, sans revenus. Cette affaire mérite donc d'être publiée par voie de presse.
En outre, elle est étroitement liée à des célébrités, dont Amélie Nothomb. A ce titre, cette affaire doit même être publiée dans les journaux à grand tirage.
Dans le même ordre d'idée, récemment une affaire bien moins grave a fait la une de plusieurs journaux, dont Le Post, le fait que le frère du chanteur Cali soit RMIste. Ici cette affaire d'héritage est bien pire, s'agissant de célébrités qui n'hésitent pas à mentir pour ruiner un proche en plus de ne lui offrir aucune assistance, proche qui a également droit à l'assistance de l'État.
Mais il y a dans la présente affaire des personnes qui ont beaucoup d'influence et qui ont la forte propension à faire censurer ce genre d'information. Heureusement, grâce à Internet, il ne sera bientôt plus possible de censurer par la seule influence. Un site indépendant va être construit concernant cette affaire et durera tant que cette affaire ne connaîtra pas d'issue juste.
.
On peut aussi en conclure qu'il n'est pas nécessaire d'être né dans une famille pauvre pour vivre toute sa vie dans la misère la plus noire.
.
L'affaire a été plaidée par Françoise Scheyven dans des conditions exécrables et a été jugée de façon expéditive par un jeune juge en début de carrière, plus influençable et inexpérimenté, face à des personnes qui ont le bras particulièrement long. Le seul élément que j'ai trouvé le concernant sur la Toile, c'était l'allégation d'une trop grande complaisance de sa part à l'égard des puissants et des autorités (en l'espèce des policiers).
Françoise Scheyven usera de tous les recours nécessaires si ses droits ne sont pas reconnus. Je compte faire une grève de la faim si cette affaire n'est pas jugée conformément au droit et aux faits, si une expertise n'est pas entreprise.
Il s'agit d'un procès public (pas de huis clos) et j'atteste de la véracité de ce que j'expose.
La seule façon de juger correctement cette affaire c'est ordonner des expertises judiciaires des avoirs des successions. En effet, un juge digne de ce nom, ne peut se fier aux seules allégations des adversaires, il ne peut non plus ignorer les documents présentés par Françoise Scheyven que l'adversaire a empêché sciemment de visiter les lieux pour les expertiser (car faute de visite, la limite inférieure de la fourchette d'évaluation a été rabaissée).